mardi 9 juillet 2013

La Série de l'impossible (Veronica Rossi)

Tome 1 : Never Sky

Depuis que le ciel s'est chargé d'éther, les hommes vivent sous des capsules ou survivent dans la nature dévastée.
Aria, 17 ans, a grandi dans une immense Capsule. Comme tous les Sédentaires, elle passe ses journées dans des mondes virtuels, à l'abri du danger. Mais un jour, accusée d'un crime qu'elle n'a pas commis, Aria est bannie, abandonnée en pleine nature ravagée par les tempêtes d'Ether. Sa seule chance de survie apparaît alors sous les traits de Perry, un chasseur aux cheveux hirsutes et à la peau tatouée. Malgré la terreur qu'il lui inspire, Aria n'a pas d'autre choix que de lui proposer un marché...qui va bouleverser leur vie à jamais.

J'étais assez réticente à essayer ce livre, pour la bonne et simple raison que je me méfie encore des dystopies. J'ai aimé la Sélection et Legend, détesté Hunger Games et Glow, donc je marche généralement sur des oeufs avec ce genre. Seulement, je me dis maintenant que j'aurais aimé découvrir Never Sky plus tôt, parce que c'est une histoire que j'ai énormément aimé. 

Au départ, j'étais assez froide, du genre à dire au livre "prouve-moi de quoi tu es capable". On dirait que le défi a bien été relevé puisque je considère que c'est un succès pour ce premier opus. 

Nous découvrons ici Aria, une jeune Sédentaire de 17 ans qui a vécu sous capsule tout le long de sa vie. Un jour, sa mère, une grande chercheuse, part pour une autre capsule et finit par ne plus donner de nouvelles. En essayant d'obtenir des réponses à ses questions, notre héroïne se retrouve dans une situation dangereuse, mortelle, de laquelle elle ne sortira que coupable pour tout le monde, et toujours sans réponses. 
Châtiment? L'expulsion à l'Extérieur, là où les Sauvages vivent, cet endroit que l'on appelle aussi l'Usine de la Mort. Mais si tous les Sauvages ne l'étaient en fait pas tant que ça? 
Perry est un "Sauvage". Il l'a sauvée alors qu'elle risquait de mourir, avant qu'elle ne soit déclarée coupable. C'est lui aussi qui va la sauver lorsqu'elle se retrouvera à l'Extérieur. 
Ils vont passer un pacte, parce qu'ils ont besoin l'un de l'autre. Mais ils ignorent encore jusqu'où ça va les mener...

Là, par contre, vous pouvez rire tant que vous voulez, mais je trouve que mon résumé... it rocks! Ouais, il assure grave xD J'étais inspirée, apparemment! Hihihi
Bon, enfin bref. 
Au départ, j'ai eu un petit peu de mal avec Aria et Perry, je me sentais étrangère à eux, ainsi qu'ils peuvent se percevoir les deux au début du livre, en fait. Elle c'est la Sédentaire, lui c'est le Sauvage. Charmant, n'est-il pas? Comme vous vous en doutez, leurs relations vont évoluer, notamment parce qu'Aria va s'endurcir, et que Perry est un être humain, pas un bourreau. Aria va découvrir tout un monde, toute une façon de vivre et d'appréhender l'univers qui l'entoure grâce à son périple. 
Elle va aussi en découvrir beaucoup plus sur elle-même, et Perry va faire le même cheminement. 

J'ai trouvé nos deux personnages fascinants, tant par les évolutions qu'ils faisaient, que par leurs capacités naturelles. Je veux dire, Aria ne se plaint pas, mais elle est curieuse de tout, et elle s'adapte quand même remarquablement bien malgré quelques anicroches. Et puis aussi, elle ne se laisse pas faire. A 17 ans, elle marque un aplomb que beaucoup lui envieraient! 
Quant à Perry, bah... j'ai un peu de mal à me le représenter blond. Ce n'est qu'un détail, mais je le vois un peu comme Travis, mon chouchounet dans Beautiful et Walking Disaster, donc vous vous imaginez bien qu'il ne pouvait que me plaire. Il est un peu dur, franc, et pourtant il émane de lui quelque chose d'infiniment bon et de doux. Comment ne pas fondre? Arrrrg xD

J'ai beaucoup apprécié de changer les points de vue, pas toujours selon le même rythme pour les chapitres (parfois il y avait deux chapitres Aria et un chapitre Perry, etc.), même si on restait dans une narration externe. Ca avait du bon, et ça m'a permis de mieux connaître les personnages, d'appréhender une nouvelle fois ce monde rempli d'éther, ce monde futuriste, de manière différente. 
En parlant de ce monde qui pourrait tout à fait exister, ça m'a plu parce que c'était plausible, et parce que même si c'est parfois un peu barbare (pour ceux qui l'ont lu, je parle des Freux, notamment, yerk), on voyait quel l'humanité et le beau persistaient. 
Cette histoire de Capsules, de SmartEyes, ou même de clans, de Seigneurs de Sang et toutes les coutumes que nous côtoyons dans ce livre sont très bien utilisées, très bien agencées et mélangées, dans un certain sens. Aria le dit souvent, Perry pouvait très bien correspondre à un décor du Moyen-Âge, et pourtant, il se fait à tous les environnements. Tout est une fusion de différentes époques, de différentes manières de vivre et c'est très agréable à découvrir. 
J'ai hâte d'en savoir plus dans le prochain livre, croyez-moi! 

Surtout en ce qui concerne les Supras, Auds, Voyants et tout ce qui va avec. Les différents personnages secondaires que l'on rencontre au long du livre nous intriguent avec ça, et ça pique sérieusement ma curiosité. 
Bref, je vois que ma chronique s'allonge encore, encore et encore, sur ce, je terminerai juste en disant que la plume de Veronica Rossi est très agréable, fluide, même si j'ai eu parfois quelques accrocs avec, très légers, en même temps, j'étais dans une version non corrigée. 

Ce sera donc une réussite, comme je le disais au début de cette chronique, pour le tome un de la série de l'impossible, Never Sky, et un... 17.5/20!


Tome 2 : Ever Dark

Après leur séparation forcée, Aria et Perry laissent éclater leur passion au grand jour. Ils doivent pourtant se rendre à l’évidence : la tribu de Perry n’accepte pas la présence d’Aria, une Sédentaire. Aria décide alors de rejoindre seule la tribu des Cornans. La route est dangereuse mais, là-bas, la jeune fille pourra obtenir des informations sur le Calme Bleu, le seul endroit où l’Ether ne frappe pas, laissant aux hommes une chance de survie.

Après le succès que Never Sky avait été pour moi, il fallait que je me procure la suite, Ever Dark! La couverture en plus, me donnait vraiment, vraiment envie de la lire... trop belle, n'est-ce pas?

Dans ce deuxième opus, nous retrouvons Perry et Aria, ensemble, enfin, réunis, avec pour mission de trouver le Calme Bleu. Qu'est-ce donc? Un lieu où l'Ether ne ravage pas tout, et où les hommes peuvent vivre sans se soucier de lui.  Sauf qu'Aria doit le trouver pour le compte du consul Hess, en échange du bien-être de Talon, le neveu de Perry,  et aussi, elle l'apprendra plus tard, pour permettre la survie des habitants de la capsule de Rêverie, où elle vivait autrefois. Perry, quant à lui, est désormais Seigneur de Sang des Littorans, et l'Ether ravage de plus en plus les cultures, le village, laissant les habitants toujours plus démunis. Trouver le Calme Bleu serait la solution miracle pour sauver son peuple. Mais comment faire? Il ne peut quitter les siens, en tant que chef, alors que déjà certains contestent son autorité, toutefois, il ne peut laisser Aria se rendre seule auprès de Sable et de Liv pour obtenir des informations. C'est Aria qui prendra la décision, elle partira, seule, à l'improviste en compagnie de Roar. Mais les choses ne se passeront pas comme prévu.

Si j'ai un mot pour définir Ever Dark? Epoustouflant! C'est le genre de dystopie qui me réconcilie absolument et éminemment avec le genre! Autant Hunger Games m'a totalement dégoutée, de même que Glow, mais Never Sky et Ever Dark, woaouh, j'en redemande encore!
Le monde où vivent Perry et Aria est un monde dangereux, et je trouve que tout ceci pourrait fortement se produire, ces salves d'Ether, ces orages qui ravagent tout et ne laissent que peu de chances à ceux qui se trouvent en dessous. Ca pourrait parfaitement nous arriver, c'est tellement plausible! Et les réactions des êtres humains face à cette colère de la terre qui les héberge est encore une fois tellement réaliste, même si atroce, qu'on se plonge sans hésitation dans le livre, on ne se pose pas de questions!

Ever Dark est un roman qui, malgré le fait qu'il traite de sujet compliqués comme la survie, la discrimination (Sédentaire/Sauvages) ou même de sélection des êtres humains pour la survie de l'espèce et même plus loin encore, est un livre empli de poésie et dont on a envie de découvrir chacune des facettes.
Jamais dans ce livre je ne me suis dit "berk, c'en est trop, je ne veux pas continuer, ça suffit." Ca m'est très souvent arrivé dans d'autres dystopies, et ça me freine beaucoup désormais à en essayer d'autres. Ici, nous voyons des choses qui nous refroidissent, mais il y a toujours une once d'espoir qui nous pousse et à aucun moment il n'est question de s'arrêter, au contraire! Nous avons toujours envie de continuer.

Et je peux en parler, de cette envie de continuer! Depuis que j'ai repris les cours, j'ai moins le temps de lire, moins envie, aussi, parce que je suis fatiguée et que mon cerveau semble carburer parfois un peu trop pour me laisser de quoi lire après. Mais là, même si parfois je me disais "Non, je lirai plus tard", je ne me suis jamais lassée de l'histoire, chose qui peut arriver à force de faire des pauses, parce qu'on ne parvient plus à s'immerger dans l'histoire. Ce n'est pas du tout le cas dans Ever Dark, car Veronica Rossi a parfaitement bien su me tenir en haleine toute l'histoire, et je savais en laissant le livre ou en le reprenant que cette histoire, c'était un véritable plaisir du début à la fin.

Nous explorons une palette de sentiments, dans ce livre, même si je n'ai pas pleuré, ou ri à gorge déployée, je ne peux nier des sourires, des tensions, ou bien de la compassion pour nombres de personnages. La situation est souvent critique, certes, mais Madame Rossi sait très bien ajouter une petite note d'humour pour faire repartir l'espoir et l'envie de poursuivre, autant pour nous que pour ses personnages, même lorsqu'ils sont au plus bas.

En parlant des personnages, je ne peux dire qu'une seule chose: ils sont géniaux. Autant les méchants que les gentils, hein, ils sont crédibles, et je ne peux nier que j'aime énormément Perry et Aria, qui sont sincères, réfléchis et qui possèdent de nombreuses qualités, dont celles d'avoir de l'humour et de se montrer loin d'être bêtes xD Leur romance est juste trop mignonne, et on reste dans le léger, ni trop, ni trop peu, juste le bon milieu! J'ai beaucoup aimé Roar et Liv, aussi, deux caractères bien trempés! En revanche, certains m'ont été antipathiques dès le début et rien à faire, pas passé...

Enfin bref, je pourrais raconter des tartines de nut-nut et même de confiture ou de miel encore sur ce deuxième tome qui m'a complètement emportée et qui consiste pour moi en un petit coup de coeur! La saga Never Sky est tout simplement un pur bijou et le deuxième tome ne faillit pas à ce que le premier nous avait montré et promis! J'ai hâte d'avoir la suite, pour retrouver Aria et Perry mais surtout encore la plume si appréciable de Veronica Rossi ainsi que son monde où l'Ether fait rage, mais où l'espoir l'emportera, j'en suis certaine! Ce sera un 19/20 pour moi!




Tome 3 : Always Blue



Alors que le domaine de Rêverie s'est effondré, Sédentaires et Sauvages tentent tant bien que mal de cohabiter dans les grottes où ils se sont réfugiés. Mais les ressources s'épuisent et le départ devient inéluctable, même si les tempêtes font rage au dehors. S'ils veulent survivre, il leur faut rejoindre le Calme Bleu, un lieu encore épargné par les ravages de l'Ether. Pour cela, Perry et Aria, plus unis que jamais, doivent délivrer Cinder, un mystérieux garçon qui peut contrôler l'Ether. Il est retenu prisonnier par Sable, le cruel chef de la tribu des Cornans...

Cela faisait un petit moment que j’avais envie de lire ce tome trois, de pouvoir terminer cette saga que j’ai, au demeurant, réellement apprécié. Alors merci encore à Lire en Live et à tous ceux qui ont voté pour ma photo au flash :)

Pour résumer ce troisième opus, nous retrouvons Aria et Perry réunis mais devant toujours trouver une solution pour atteindre le Calme Bleu, et récupérer Cinder qui se trouve entre les mains de Sable et du consul Hess. Préparant une sacrée expédition, nos deux héros vont se lancer dans une suite de péripéties dont ils ne sortiront pas indemnes. Il va falloir acquérir ou récupérer la confiance de certains, et tout faire pour sauver les Littorans ainsi que les Sédentaires qui attendent une solution dans la grotte.

J’ignore si cela se ressent, mais il est assez ardu de faire un résumé de ce livre sans tout spoiler. Surtout que j’ai été un petit peu embêtée, au départ du livre, parce que j’avais oublié un petit peu… beaucoup de choses. Mais j’ai fait avec et je pense ne m’en être pas trop mal sortie. Tout du moins, je n’ai pas été complètement perdue durant ma lecture, et c’est un gros point positif. Il y a des tomes où l’on peut se laisser égarer facilement et finir par abandonner parce que c’est pas possible… Cela n’a pas du tout été le cas ici.

Je me suis au contraire rapidement laissé happer par l’histoire, par ce récit à deux voix que je trouve encore une fois tellement génial, par toute cette tension et ces sentiments exacerbés mais humains et véritables que tous ressentent.
Aria m’a beaucoup plu parce qu’elle est déterminée, mais en même temps, elle a ses doutes. Elle a envie d’être égoïste mais n’y parvient, pas d’un certain côté. J’ai trouvé ses valeurs vraiment bien (quelle pauvreté dans mon vocabulaire, c’est fou), et ses crises existentielles ne m’apparaissaient jamais futiles, bien au contraire, entre elle et Perry, chacun des deux m’a paru mature, profondément adulte, déjà.
Ils sont forgés au feu des évènements, et pourtant, ils gardent une âme un peu d’enfant, capable de s’émerveiller de peu, et de sortir des boutades pourries qui ne peuvent que vous faire éclater de rire même quand la situation ne s’y prête pas.
Perry… lui, il me fait craquer, vraiment. Sa force intérieure et son dévouement pour ceux qu’il considère comme les siens est juste extraordinaire. Il est conscient d’être un humain imparfait, ayant commis des crimes, et… je trouve que Veronica Ross sait exprimer ses ressentis et tout ce qui pèse sur lui avec gravité, mais sans en faire trop. C’était juste, à mon goût.

En dehors de Perry et Aria, j’ai énormément apprécié Roar, malgré son foutu caractère sombre à cause des évènements, ainsi que Soren, qui serait tout juste bon à taper dans les premiers temps. Ils apportent quelque chose d’important au roman, c’est indéniable !

Au niveau de l’intrigue en elle-même, comme j’ai pu le mentionner sur la page FB, nous sommes sur un fil tendu, en équilibre précaire, tout au long du livre. Et pourtant, on sent de manière certaine que Veronica Ross maîtrise chaque élément. Rien n’est laissé au hasard et justement, ça vous donne juste envie d’aller plus loin, de voir s’ils vont s’en sortir, et comment ? Notre petite équipe échafaude des plans, élabore des stratégies, mais comme dans la vraie vie (ou pas, je n’en sais rien xD), ces plans tombent à l’eau et il faut tout revoir de zéro ! Ils passent par tellement d’épreuves, là-dedans qu’à un moment, on pourrait penser que tout est contre eux.

Mais jamais vous n’avez envie d’abandonner, parce que vous êtes portés par leur lutte, par tout ce qu’ils véhiculent et par l’espoir qu’ils incarnent, d’une certaine manière. Ils ne renoncent pas parce que cela ne leur vient même pas à l’esprit : ce n’est même pas envisageable ! Du coup, la lecture devient totalement addictive et vous oubliez le monde environnant.

Mettez tout ceci dans un univers dystopique très bien construit et maîtrisé, lui aussi, assez fascinant aussi, et reprenant quelque part quelques expériences de l’homme (la volonté de trouver un meilleur endroit pour survivre d’abord et vivre ensuite, par exemple, même si dans ma tête je pense à une étape postérieure à tout ceci, dans le livre). Là encore, on n’a pas l’impression que quelque chose est laissé au hasard. Vous vous posez des questions, mais elles ne sont pas de celles qui pensent détecter une faille ou se demander si on a bien compris. C’est clair, et on en redemande. C’est la confrontation entre les nouvelles technologies et les outils plus ancestraux, « primitifs », si l’on peut se permettre le terme.

En même temps, et s’il s’agira de mon dernier point avant la conclusion, je trouve que ce roman nous parle de valeurs. D’apprendre à apprécier l’autre (au sens d’estimer ses forces et ses faiblesses et de dépasser son jugement premier), de se dépasser, de s’oublier pour les autres, de se battre pour ce en quoi on croit… il nous parle aussi d’amour, d’amitié, de deuil, d’humanité, de respect, de filiation… je pourrais énumérer encore beaucoup de choses.
Le seul bémol pour moi, peut-être, c’est que la fin admet quelque chose d’un peu trop violent. Il y a beaucoup de sacrifices, dans ce troisième opus, mais je n’aime pas tellement comment certains finissent. C’est ce qui aura sans doute empêché mon coup de cœur.

En conclusion, ce troisième et dernier tome reste une réussite pour moi, j’ai passé un excellent moment de lecture, Perry et Aria vont me manquer, ils forment un couple que je ne suis pas prête d’oublier. Dans un univers dystopique fascinant, avec une intrigue qui vous donnera du mal si vous tentez de lâcher le livre, Always Blue vous permettra de clôturer une saga en beauté, à la hauteur des deux premiers tomes. De belles leçons à tirer, même si j’aurais aimé que cela soit un peu moins violent à la fin, je pense que c’est une fin logique, de celles qu’on aurait aimé autres mais qui forgent et construisent autant les personnages que ceux qui lisent leurs aventures (oui, je deviens philosophe !).
Ce sera donc un 18/20 pour moi et je conseille très sincèrement toute la saga !

7 commentaires:

  1. merci pour ton avis qui me conforte dans l'idée que je veux lire ce livre ! et pas seulement parce que le l'autre porte le mime nom de famille que moi lol

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  2. j'ai été un peu déçus par ce livre, j'en attendais trop mais au final j'ai bien aimé quand même

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  3. Bonjour à tous !

    On se retrouve pour une petite Newsletter. Je suis désolée de dire qu'il n'y aura pas de "Dans ma PAL" cette semaine, je n'ai pas eu du tout le temps jeudi, je vous explique pourquoi dans ma vidéo IMM mi-juillet.

    Ma lecture en cours : http://lemillefeuilles.skyrock.com/3169933883-Lecture-en-cours.html

    Mon IMM mi-juillet (trop d'acquisitions pour attendre la fin du mois...) : http://lemillefeuilles.skyrock.com/3147689150-In-My-Mail-Box.html

    Lien YouTube : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Dr6bLEZxtlQ

    Ma chronique : http://lemillefeuilles.skyrock.com/3173428137-22-11-63-Stephen-King.html

    La lecture commune que j'organise : http://lemillefeuilles.skyrock.com/3172088693-Si-j-organise-une-lecture-commune-tu-viens.html

    Je vous souhaite un bon week-end,

    Anaïs.

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  4. J'ai adoré moi aussi, c'est une très bonne dystopie

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  5. Je l'ai dans ma PAL et hésitais à le lire! Tu viens de me convaincre!!!!

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  6. Ton avis me donne encore plus envie de le lire !! xD

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